C’était la ligne rouge à ne pas franchir. Le crime de lèse-majesté de trop à ne pas commettre, en voulant, via une cabale médiatico-politique des plus dégoûtantes, salir celui qui, sans exagération aucune, mérite qu’il soit appelé le ‘’zorro’’ du secteur agricole guinéen.
En l’occurrence Mamadou Bobo Dencken Diallo, opérateur économique de première bourre en Guinée, président de la chambre nationale d’agriculture.
En effet, depuis des jours, un clan mafieux, constitué des plus grands ‘’fossoyeurs’’ du secteur agricole de la Guinée, a décidé de livrer bataille à Bobo Dencken, dans le dessein satanique de souiller sa réputation aux yeux de l’opinion et de le brouiller avec le Chef de l’Etat dont il a toute la confiance, dans la gestion d’un secteur agricole plus que dans le dur.
Dans son entreprise démoniaque, mal en pris à ce clan de ‘’grippe-sous’’, qui était en passe de faire passer à la trappe, un montant record de surfacturation pour dit-on, achat d’intrants agricoles, de vouloir présenter celui sans qui, il aurait été presqu’impossible à la gouvernance actuelle de parler de secteur agricole, -comme le principal ‘’prédateur’’ dudit secteur.
Aussi ahurissant que cela puisse être, dans cette orgie de ‘’malfaisants’’, figure en bonne place une suppléante aux ambitions démesurées, pressée d’enterrer vivant le titulaire du siège, à l’hémicycle.
Nous reviendrons très bientôt sur ses agissements par lesquels elle s’est couverte de honte et d’opprobre, à la session inaugurale de la 9ème législature guinéenne. Suivez mon regard !
Décidément, le ridicule ne tue pas en Guinée. Mais rien de surprenant, nous sommes étant dans un monde révulsé où la pyramide des valeurs et de la probité morale notamment, est inversée.
Sinon comment un groupe de ‘’combinards’’ sans foi ni loi, disséminés entre les dédales du ministère de l’agriculture et de plusieurs structures intervenant dans le domaine agricole, mus que par une volonté assoiffée de faire mains basses sur toutes les ressources en faveur du paysannat guinéen, ose s’en prendre à quelqu’un qui, de tout le temps, en faisant abondance de don de soi et de ses moyens, n’a œuvré que pour le bien du secteur agricole et de la paysannerie ?
Parce qu’il ne saurait tolérer que des ‘’sangsues’’ du secteur agricole guinéen, continuent, éhontement et dans l’impunité la plus absolue, de se livrer à leur sale besogne qui consiste à accaparer toutes les maigres ressources destinées aux différentes campagnes agricoles et à d’autres programmes en lien avec les initiatives présidentielles dans le secteur, parce que justement, il leur a récemment enlevé de la bouche un ‘’gros morceau’’ qu’ils pensaient déjà dans le sac , parce qu’il a toute la confiance du Chef de l’Etat qui lui a demandé de voler au secours de la filière de la pomme de terre, en voie d’être cannibalisée, pour ces raisons et d’autres plus encore obscures et sordides, il fait l’objet d’une campagne de diabolisation dont le seul but est de faire passer un ‘’empêcheur’’ de voler, pour un ‘’prédateur’’ mon œil, pour un ‘’type méchant’’ qui moucharde et détruit les autres auprès du président de la république.
Il a été distillé dans la presse que 5000 tonnes de pommes de terre étaient en voie de pourrissement à Timbi Madina. Or, il n’en est rien.
Il ne s’agissait en fait que de 500 tonnes pour lesquelles le président de la chambre nationale d’agriculture a pris les dispositions qui s’imposent, au profit des cultivateurs.
Sans Bobo Dencken, l’opinion n’aurait jamais su, cette autre tentative de siphonage de l’une des ressources de la paysannerie.
Dommage que celui qui ne devrait plutôt récolter que des ‘’lauriers’’ et à qui on devrait tresser des couronnes’’, pour ces immenses investissements et efforts en faveur du secteur agricole guinéen notamment de la paysannerie, soit visé par une machination aussi grotesque.
Mais que les commanditaires et acteurs de cette campagne, se tiennent bien, un vilain retour de la manivelle, qui est pour très bientôt, au gré de révélations en forme de déflagrations sur les indénombrables scandales financiers dans le secteur, un vilain retour du bâton les défigurer et les enverra, à coup sûr, paître dans les geôles de l’histoire sombre des prévaricateurs des deniers publics du pays.
Tafsir Moses