Plusieurs rapports d’organisations internationales ont publié des rapports accablants sur la Guinée, en terme de violations des droits de l’homme. Mais il se trouve que l’État guinéen conteste toujours sans apporter des preuves.
Intervenant sur ce sujet chez nos confrères de FIM FM ce mardi 20 avril 2021, le député du Rpg Arc-en-ciel a d’abord signalé un éventuel acharnement des institutions internationales contre le gouvernement guinéen.
Il a ensuite exprimé son regret, dira-t-il, systématique suite à ces différents « parce-que ce sont des rapports partiaux. Je ne suis pas surpris que l’on nous taxe de cette façon, parce-que c’est devenu une habitude. Que ça soit Amnesty International ou autres, ce sont tous des rapports qui s’intermellent, ils ont les mêmes sources, les mêmes acteurs de la société civile. En 10 ans il n’y a eu aucun rapport qui met en excelle les avancées dans la matière or, il y’en a eu. Lorsqu’on essaye de peindre tout en noir, alors qu’on voit ce qui se passe un peu partout dans le monde mais quand il s’agit de la Guinée c’est comme un acharnement à cause peut être de la position prise par les autorités guinéennes », a-t-il martelé.
Toutefois, Souleymane Keita reconnaît que le gouvernement ne communique pas.
« J’ai l’impression que le gouvernement n’est pas prompt sur ces questions-là. Il faut communiquer, donner les informations parce que si vous ne donnez pas les informations, les autres prennent le devant polluent l’atmosphère et la source d’information de l’opinion est exclusivement réservée aux institutions », suggère-t-il.
Abdoul Condé