Un jeune homme d’une vingtaine d’années entretenait des relations sexuelles avec une dame opulente.
Certaines femmes âgées entretiennent de jeunes hommes pour le sexe, un phénomène urbain. Un caractéristique d’une société où le plaisir prime. « Sugar mummy » , maman-gâteau ou les femmes couguars, c’est ainsi que l’on désigne les femmes de plus de 45 ans qui recherchent du plaisir sexuel auprès de jeunes hommes, souvent dans la vingtaine, pour les entretenir en retour.
C’est le cas d’un jeune homme âgé d’une vingtaine d’années que nous avons rencontrés ce vendredi, 30 septembre 2022, à Conakry. Ce dernier a raconté de font en comble son histoire avec une sugar-Mummy qui avait à peu près le même âge que sa mère.
<<Je vais vous raconter mon aventure avec une dame qui m’a tapé dans l’œil et qui avait l’âge de ma mère. Je travaillais comme agent dans une société de gardiennage (sécurité privée) jusqu’au jour où on m’a fait changer de site pour aller travailler chez une grande dame bien opulente.
Mon temps de travail était entre 18 heures et 7 heures du matin. Ma patronne vivait avec son mari qui était déjà au bout de ses affaires, et trois domestiques toutes des jeunes dames qui remplissaient les tâches ménagères de la maison. Un jour pendant que je continuais à faire mon boulot comme d’habitude, madame me demande si j’ai une petite expérience en conduite, j’ai répondu par un oui !
C’est alors qu’elle me proposa de travailler personnellement pour elle , c’est-à-dire qu’elle me prend en charge. D’abandonner la société et qu’elle allait me donner le double de mon salaire. Sans trop réfléchir, j’ai bondi de joie, croyant qu’elle prétend m’aider pour m’en sortir en tant que jeune ; car elle ne peut être qu’une mère pour moi d’ailleurs, parce que depuis mon premier jour elle m’a montré une gentillesse délimitée.
Donc j’ai commencé à travailler côte à côte avec ma patronne. C’est moi qui l’accompagnais pour ses courses ; au travail et un peu partout. J’ai vu moi même que j’ai changé d’un coup, mais j’avais senti en fait, que madame prenait soin de tout ce qui me concernait, que ça soit la coiffure, le langage, mes relations, le mode vestimentaire et elle ne voulait surtout pas que je lui manque de vue.
Normalement je ne travaille pas les dimanches, mais ce dimanche-là, madame m’a appelé très tôt le matin pour l’accompagner à une cérémonie qu’elle ne devrait pas ratée pour rien au monde. Je suis venu bien habillé comme elle le souhaite à chaque fois ; on est monté dans la voiture et nous avons pris le chemin, à quarante-cinq kilomètres de la capitale, madame m’indique un lieu qui se trouvait à deux kilomètres de la route, c’était un grand motel.
Mais dans un petit coin inconnu. Sans poser de question, je suis rentré avec madame dans la salle de réception, elle a parlé avec une dame là-bas et on est monté à l’étage dans une chambre du motel , où l’on s’est retrouvé qu’à deux.
Honnêtement j’avais eu peur, et je me posais la question à savoir que me voulait cette belle dame ? Madame me demande de m’asseoir sur le lit et elle m’ouvre son cœur en me disant qu’elle veut coucher avec moi maintenant et tout de suite. J’ai voulu résister et lui poser quelques questions, mais elle ne m’a pas donné le temps.
C’était une occasion inimaginable, qu’on venait de m’offrir sur un plateau en or, je ne pouvais le refuser. C’est de là que tout est parti. J’étais devenu le petit beau gosse de ma patronne. Au début, ça ressemblait à une parfaite histoire d’amour en cachette alors que ce n’était pas de l’amour en fait. Juste une relation basée sur l’intérêt de chacun.
Elle se sert de moi pour satisfaire son orgasme, et moi à mon tour je tends la main pour de l’argent. Tout est allé si vite qu’on a oublié même que j’étais là pour effectuer mon travail. Madame a fini par chasser toutes ses domestiques pour vivre tranquillement avec moi, et elle a fait venir d’autres qui venaient seulement pour la journée et rentrée tôt le soir. Madame avait une fille aux Etats unis qui venait rarement au pays. Donc nous sommes restés dans cette relation pendant des années sans que le Mr (mari) ne doute une seule fois de nous.
Je me demandais alors, est-ce que le patron n’était pas à la hauteur de ses désir charnels ? Ou parce que le Mr le (mari) fait la même chose que madame quand il sort de la maison ? Des questions en questions, j’ai fini par lui (ma patronne) être infidèle. Je ne voyais maintenant que des vieilles dames de sa génération vue l’avantage qui y était.
Comme chaque chose à son temps, une période de prospérité relative pour moi, a commencé à s’envoler, lorsque madame a commencé à remarquer que je traînais avec des dames de sa génération, mais aussi les filles de ma génération également. Une chose qu’elle ne supportait pas du tout. Et ça été une occasion pour moi de me libérer de cette relation toxique.
Il est bien vrai que ça m’apportait beaucoup ; mais ma vie coûte plus cher que tout ça, surtout ma santé, qui n’a d’ailleurs pas de prix. >> a-t-il raconté dans un entretien accordé à notre média.
N’sira Sylla