Enjeu principal des législatives algériennes du 12 juin, un scrutin rejeté par le mouvement contestataire du Hirak et une partie de l’opposition, le taux de participation national n’a atteint que 30,20 %, le score le plus faible depuis au moins 20 ans pour ce type de d’élection.
Les Algériens ont voté, samedi 12 juin, pour choisir leurs députés lors d’élections législatives anticipées, un scrutin rejeté par le mouvement contestataire du Hirak et une partie de l’opposition, et marqué à nouveau par une très forte abstention.
Il s’agit des premières législatives depuis le soulèvement populaire inédit et pacifique, né le 22 février 2019 du rejet d’un 5e mandat du président Abdelaziz Bouteflika, poussé près de deux mois plus tard à la démission après 20 ans de règne.
La rédaction.