Une tribune publiée dans les médias locaux, a fait mention de l’accord pour une participation au dialogue politique et social, exprimés par Chérif Bah, Cellou Baldé et Ousmane Gaoual Diallo. Dans cette note, ces cadres de l’UFDG, détenus à la maison centrale de Conakry après l’élection du 18 octobre 2021, ont affirmé qu’un consensus s’est dégagé pour considérer que ce serait là, un des premiers gages d’ouverture d’un dialogue constructif, consensuel et inclusif.
« Pour nous, il est fondamental d’œuvrer dans ce sens afin d’amorcer le processus d’apaisement par le dialogue et la concertation dans le souci de renforcer l’unité nationale et la cohésion sociale », écrivent-ils.
En réponse, le bureau exécutif de l’UFDG a écrit ceci :
« En tout état de cause, la position de l’UFDG par rapport au dialogue politique relève exclusivement de la Direction nationale et de ses instances compétentes ».
Abdoul Condé.