Clôture d’un atelier de restitution-validation du projet Gaoul-Koundara-Mali (GKM), s’est tenue ce jeudi 12 janvier à Conakry sous la clairvoyance du ministère de l’agriculture et de l’élevage.
C’est un atelier qui a permis de faire le diagnostic, l’identification, priorisation des interventions et options d’investissement en Guinée allant du 10 au 12 Janvier 2023.
Pour comprendre exactement l’apport futur du projet, le coordinateur par intérim du projet de développement rural intégré Gaoual-Koundara-Mali, a indiqué l’importance de cette étude et promet que ce projet sera au bénéfique de la population.
<< Cette étude va apporter un projet au bénéfice de l’ensemble de la population Guinéenne en termes d’élevage. Si on parvient à réaliser et à finaliser cette étude de faisabilité de ce projet sur le terrain, ça sera vraiment un ouf de soulagement pour la Guinée. Parce que toutes les conditions sont réunies aujourd’hui pourque ça s’exécute.>> a promis Kemo Condé ; avant de revenir sur l’étape suivante qui consiste à la budgétisation du projet.
<< La seconde étape du projet, on attend d’ici fin mars, un rapport détaillé sur la faisabilité du projet. En plus, nous allons faire passer cela aux détecteurs pour voir exactement quelles sont les options qui sont prioritaires, les budgétiser afin de sous mettre à l’approbation du département et passer au financement.>> a souligné le coordinateur par intérim
Jean Luc Faber, conseiller principal de monsieur le Ministre, a exprimé sa satisfaction par rapport à ce projet qui vise à améliorer le secteur de l’élevage à travers les différentes directions nationales.
<< Je suis très satisfait pour qu’il ait une étude de diagnostic du secteur de l’élevage. Qui nous permet d’avoir les bases de promotion sur les différentes contraintes. L’existence du projet est une volonté du ministère pour que ce secteur soit développé. C’est pourquoi le ministère a pris l’engagement d’accompagner les acteurs qui sont dans les filières de la production viande, agricole, en rénovant les infrastructures, comme les CAE. Le ministère a mis une direction nationale de l’alimentation et la direction des services vétérinaires, pour que le secteur public soit visible sur le terrain. >> a-t-il indiqué
François Lelano