La nomination de Docteur Dansa Kourouma à la tête du Conseil National de la Transition (CNT) continue à alimenter les débats en Guinée. Elle suscite assez d’espoir chez plusieurs acteurs de la vie sociale et politique de la Guinée. C’est le cas de Dr Paul Kamano, président de la coordination des Organisations non gouvernementales pour la promotion de la bonne gouvernance et de l’excellence en Guinée (COPE- GUINÉE).
Cet acteur de la société civile Guinéenne estime que Dr Dansa fait partie de ceux-là qui défendent la cause des guinéens. « Le Colonel Mamadi Doumbouya ne pouvait pas trouver mieux. Dr Dansa Kourouma est un acteur majeur de la société civile guinéenne qui a tout donné pour la promotion des valeurs sociales, la vulgarisation de la citoyenneté, la promotion de la démocratie, la lutte contre l’injustice sociale, les inégalités, l’ethnocentrisme et l’ethno stratégie en Guinée. Avec Dr Dansa, l’espoir est permis » a reconnu Dr Paul Paul Kamano
Poursuivant, cet activiste de la société civile répond aux détracteurs de Dr Dansa Kourouma. « Après la génération des Ben Daouda, Rabiatou Serah, Bakary Fofana,etc… C’est celle des Dansa KOUROUMA, Kabinet CISSE et autres qui ont pris le relai et qui sont toujours restés droits dans leurs bottes, rien que la défense de l’intérêt général et la société guinéenne. Ceux qui critiquent aujourd’hui, la plupart roulent et ont été toujours financés par les politiques dans ce pays. Nous à la COPE-GUINEE, on a postulé pour être membre du CNT. Mais, si Dieu n’a pas voulu, alors pour nous, ce n’est pas la fin du monde. Nous allons continuer à nous battre pour que notre pays avance. Soutenir ceux qui ont été choisis. Mon combat, c’est de défendre l’intérêt de la Guinée. À un moment donné, il faut regarder la Guinée, penser au pays et non aux intérêts égoïstes », a-t-il dit au micro de notre reporter
Dr Paul Kamano a profité de l’occasion pour charger le nouveau du Président du CNT. « Je demande à Dr Dansa Kourouma d’œuvrer pour que le CNT traduise les aspirations légitimes du peuple de Guinée. C’est-à-dire, une transition qui ne prend pas l’allure d’un mandat dans la durée. De penser aussi au renouvellement de la classe politique à travers la fixation de l’âge maximal. Il faut également penser à l’instauration du bipartisme, engager les audites, lutter contre la corruption et faire la promotion des jeunes talents », a souhaité le Coordinateur de la COPE-GUINEE
Aboubacar Moussa camara
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