Il y a quelques semaines, le gouvernement guinéen à travers le ministère de l’administration du territoire et de la décentralisation a dissout le front national pour la défense de la constitution. Après des partis politiques, des organisations de la société civile, c’est le tour du système des Nations-Unies qui condamne cette décision.
Bachelet estime qu’une telle mesure constitue une atteinte grave au droit à la liberté d’association et de réunion pacifique.
Elle appelle donc le gouvernement à revenir sur cette décision et à garantir à tous les Guinéens les libertés fondamentales contenues dans la Constitution guinéenne et conventions internationales relatives aux droits de l’homme auxquelles la République de Guinée est partie.
Ci-dessous lettre de Michèle Bachelet :
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