Alors que d’autres coalitions des partis politiques avant l’ouverture du cadre de dialogue avaient posé des préalables qui n’ont pas été accepté, ils ont décidé de pas y participer.
Et, depuis le démarrage du cadre de dialogue inter-guinéen, plusieurs dysfonctionnements ont été détectés aussi par les participants.
Invité le mardi 06 décembre 2022, chez nos confrères d’Espace FM, Oyé Beavogui, du PDG-RDA dit être surpris par des amendements dans l’agenda présenté par les organisateurs du dialogue sans consulter qui que ce soit.
<<il me semble important qu’aujourd’hui, c’est l’avenir de la Guinée qui est en jeu. C’est le destin même des futures générations qui est en jeu. On ne parle plus du colonel Mamadi Doumbouya et toute sa génération. Parce que ce qui va se discuter là, ça risque de déranger où de compromettre notre devenir. Nous avons accepté de prendre part à ce cadre de dialogue en toute responsabilité et en toute connaissance de cause… Ainsi nous avons commencé les travaux du groupe.
Et là-dessus, nous avons été désagréablement surpris que des amendements ont été apportés à cet agenda, sans le consentement de la plénière que nous estimons souverain. On ne s’oppose pas à cela, parce que l’initiative de la révision de l’agenda peut venir des facilitatrices. Mais il faudrait qu’il soit soumis à la validation de la plénière, c’est ce qui n’a pas été fait. Et là, ça compromet. Ça ne marche pas. On n’est pas venu à un séminaire où dans une école. Nous avons accepté de venir prendre part et, tout ne peut pas passer comme lettre à la poche.>> A déploré Oyé Beavogui, secrétaire par intérim du PDG-RDA
N’sira Sylla