L’arrestation et la détention de Sékou Jamal Pendessa, le syndicaliste de la presse fait toujiurs la Une des médias en Guinée. Le mardi 5 février, mouvement syndical de déclencher une grève générale et illimitée sur toute l’étendue du territoire national si le syndicaliste n’est pas libéré.
Interrogé par votre quotidien d’informations générales, le politicien et l’ancien ministre de la Réconciliation nationale Bah Oury ne partage pas cette démarche des syndicalistes.
« Le syndicat devrait également dans des situations qui le concernent, notamment le milieu des médias être un parafeu qui aurait dû inciter les médias à faire preuve de plus d’équilibre, d’objectivité. Lorsque dans un contexte où vous savez qu’une manifestation est interdite et vous voulez coûte que coûte braver cela, il va de soi que vous risquerez de vous retrouver dans une situation particulièrement difficile »,a-t-il déclaré.
Tout en ajoutant que cette demarche n’est pas la bonne.« Je ne pense pas que c’est la meilleure méthode pour régler nos problèmes et pour faire avancer les choses », indiqué l’ancien ministre de la Réconciliation nationale.
Daouda Yansané