Il n’est un secret pour personne que la capitale Conakry et ses environs sont plongés dans le noir ces derniers temps.
Pour faire face à cette demande croissante de courant qui se solde souvent par des cas de morts à Conakry et à l’intérieur du pays, le Premier ministre Bah Oury sur RFI, il y a un mois, a annoncé l’arrivée d’une centrale thermique flottante, installée sur un navire.
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Mais une source au sein du ministère de l’Énergie nous a confié que cette question de bateaux n’est plus à l’ordre du jour, la facture étant trop élevée. L’État préfère s’en remettre à ses voisins, dont le Sénégal et la Côte d’Ivoire.
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Pour ce qui est du cas spécifique du Sénégal, notre source rassure que les discussions tournent autour de la fourniture de 100 mégawatts à la Guinée.
Ces mesures, dit-elle, sont des alternatives en attendant les grandes pluies qui permettront aux barrages hydroélectriques de bien fonctionner.
Daouda Yansané
