Dans la Commune de Dixinn, ils étaient 3.968 candidats inscrits dont 2003 filles concernés par cet examen et répartis dans 11 centres. Pendant trois (3) jours, les candidats ont été évalués en Rédaction, en Géographie, en Sciences d’observation, en Instruction civique, en Calcul écrit et en Histoire.
Les autorités éducatives de cette commune de la capitale sont contentes du bon déroulement des épreuves.
Selon le Directeur communal de l’éducation durant trois jours, candidats, surveillants et encadreurs ont été soumis au strict respect des règlements en vigueur, a laissé entendre M. Sylla. Avant de poursuivre, le port de téléphones, des chaussures fermées, et autres documents compromettants était interdit lors de cette évaluation chose qui a été respectée dans ma commune par les candidats, surveillants et encadreurs dans les différents centres d’examens. Nous n’avons pas besoin de faire la promotion de la médiocrité mais plutôt c’est la qualité qui nous intéresse. Comme le souhaite d’ailleurs le président de la république, a noté le DE de la commune de Dixinn.
Pour leur part, les surveillants et les encadreurs, évoquent la sérénité qui a caractérisé cet examen. « Contrairement aux années précédentes, la sérénité et la rigueur ont caractérisé ces trois jours de compétition. Les élèves étaient responsables dans les salles. Chacun comptait sur son propre travail et les principes et règlements établis par le département pour le bon déroulement de cet examen ont été respectés par les candidats» souligne Talibé Camara.
Si par endroit les surveillants ont apprécié le climat de sérénité qui a marqué cet examen, par ailleurs, ils regrettent les cas de maladies constatés pendant les examens et qui font perdre les candidats.
« Pour moi, Il faut mettre sur pied une session de remplacement permettant l’évaluation les candidats qui tombent souvent malades à la veille des examens. Car il est regrettable qu’un candidat qui a passé toute l’année à apprendre, ne fasse pas l’examen à cause de la maladie. En Guinée j’ai constaté que ce système n’existe pas ici. Alors que dans les autre pays comme la Côte d’Ivoire, les autorités ont toujours mis en place ce système pour les candidats frappés par les cas de force majeure justifiables à la veille. Je profite de votre micro pour demander au gouvernement de revoir cette mesure afin de permettre aux candidats malades dont le cas est justifié de faire une session de rattrapage » a plaidé monsieur Talibé Camara.
A préciser que les résultas de cet examen de fin d’études élémentaires sont attendus dans deux semaines selon le Ministre du département de l’éducation.
Conakry, Faya Moussa ll Kamano pour www.lolaplus.org
Email: fayamoussa2k@gmail.com
TEL: +224621597947/ 654763767